Avant leur mise en œuvre dans les procédés de production de biocarburants ou de molécules chimiques biosourcées, les micro-organismes impliqués doivent être optimisés. Cela passe par de l’ingénierie génétique qui consiste à inactiver ou ajouter un ou plusieurs gènes afin d’améliorer l’aptitude à la production de molécules cibles. (...) À IFPEN, le recours à la génomique (ADN) a contribué à rassembler des données sur la composition et la structure des génomes des micro-organismes...
Après des études à l’université Grenoble-Alpes, j’ai réalisé ma thèse au CEA de Grenoble (UMR 5249, UGA/CNRS/CEA), sous la direction du professeur Marc Fontecave et du Dr. Hamid Atta, sur des
La substitution de bioprocédés aux procédés pétrochimiques requiert la mise en oeuvre de biocatalyseurs (ou micro-organismes) pour produire des molécules, avec un moindre impact environnemental. L’un de ces microorganismes, Clostridium beijerinckii DSM 6423
Le périmètre de mon HDR a couvert dix années de recherche à IFPEN dans le contexte du développement de Futurol™, procédé destiné à produire du bioéthanol de 2e génération à partir de biomasses
La production industrielle d’éthanol à partir de biomasse lignocellulosique a été démontrée par le projet Futurol™a. L’extrapolation et l’optimisation du procédé, ainsi que sa flexibilité vis-à-vis
Damien Hudebine a obtenu son diplôme d’ingénieur ENSIC en Génie Chimique en 1999 avant de réaliser son doctorat dans le groupe cinétique d’IFPEN en collaboration avec l’ENS Lyon jusqu’en 2002. Il a
La biomasse lignocellulosique est une matière première attractive pour la production de carburants et d’intermédiaires chimiques car elle est abondante et dotée d’une empreinte environnementale